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amine
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MessageSujet: discussions générales   discussions générales Icon_minitimeDim 18 Nov 2007 - 15:13

cheers cheers
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yacoub




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MessageSujet: mensonges, al-Qaïda, George W. Bush, Terrorisme,   discussions générales Icon_minitimeJeu 24 Jan 2008 - 17:25

Mots clés : mensonges, al-Qaïda, George W. Bush, Terrorisme, Gouvernement, Irak (pays), États-Unis (pays)


La nouvelle n'est pas que George W. Bush et son équipe ont menti au sujet des armes de destruction massive de Saddam Hussein et des liens de celui-ci avec al-Qaïda pour justifier la guerre en Irak mais bien le nombre de fois qu'ils l'ont fait: 935 fois entre le 11 septembre 2001 et le 11 septembre 2003, selon la compilation faite par le Center for Public Integrity, qui a épluché les documents officiels et les propos du président américain et de sept de ses principaux collaborateurs tels que rapportés par les grands médias.
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yacoub




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MessageSujet: Attali, un libéral et un grand naïf   discussions générales Icon_minitimeJeu 24 Jan 2008 - 19:32

Attali, un libéral et un grand naïf
Avec France Inter, la chronique de Bernard Maris, journaliste et écrivain.




Le rapport Attali est destiné à trouver le point de croissance supplémentaire qui manque à la France pour résorber définitivement le chômage. Et la mesure clef du rapport Attali est la libération totale du marché des taxis parisiens. Ce qui permettrait d'avoir 60 000 taxis à Paris au lieu de 16 000 qui sont tous stationnés à Roissy. Actuellement il y a un taxi pour 360 parisiens. En Irlande, après libéralisation du marché, c'est 1 taxi pour 72 (et le prix de la course est évidemment moins onéreux). Imaginez, à Paris, vous levez la main et hop ! une nuée de taxis autour de vous.
Pourquoi cette mesure est-elle centrale dans ce dispositif ? Parce que c'est un signe. Si cette mesure passe, le rapport passera. Voici quarante huit ans, le rapport Rueff Armand remis au premier ministre Michel Debré souhaitait, je cite « lever les barrières règlementaires qui des notaires aux vétérinaire en passant par les experts comptables ou les taxis pourraient faire émerger un million d'emplois. » Cinquante ans ont passé et les corporatismes sont restés. Le rapport Attali propose de toucher aux pharmaciens, aux notaires et huissiers, aux coiffeurs qui pourraient s'établir avec un simple CAP, aux hôtels, aux station-services, aux cinémas qui pourraient être créés sans restriction, bref, laissez passer, laissez entreprendre, laissez respirer. Supprimez toutes les barrières ! Supprimez les barrières d'âge à la retraite ! Liberté d'installation commerciale, suppression des lois Raffarin et Galland qui protègent le petit commerce, et qui n'ont rien protégé du tout, au contraire - dixit Attali.

En ce qui concerne le coût du travail, le rapport propose de baisser les cotisations employeurs et salariés, augmenter la CSG et la TVA. Pour un euro de salaire versé, le coût du travail est de 1,8 euros en France, contre 1,25 au Royaume Uni – cela dit, le Royaume-Uni n'est pas un bon exemple, les gens y sont mal soignés. Et bien entendu, cela va de soi, on supprime la durée légale du travail.
« Les Français doivent savoir que l'avenir de l'emploi n'est plus dans la fonction publique, et que celui des entreprises n'est plus dans les subventions. » On a compris qu'Attali voulait lutter contre le rentes, mais on a le sentiment qu'il redécouvre le libéralisme, alors que le libéralisme s'effondre sous nos yeux sur le plan financier. Cette foi dans l'autorégulation du marché est un peu surprenante. Certes, il y a des propositions iconoclastes, mais très libérales au fond, dans le rapport, comme l'ouverture à l'immigration.
Enfin, le rapport propose une mesure détestable : « Apprendre l'économie dès le primaire. » Ca laisse rêveur. Je pense qu'il vaut mieux que les enfants apprennent à lire, compter, chanter, quelques poésies aussi. Tout ça vaut mieux que les formater à la croissance, pauvres gamins, à peine sevrés.

Retrouvez « L'autre économie » de Bernard Maris, en direct sur France Inter, du lundi au vendredi à 6h49.


Mardi 22 Janvier 2008 - 07:02
Bernard Maris
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amine
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MessageSujet: Re: discussions générales   discussions générales Icon_minitimeSam 16 Fév 2008 - 21:03

la politique maintenant
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MessageSujet: Re: discussions générales   discussions générales Icon_minitimeDim 17 Fév 2008 - 20:51

L’auteur d’un livre sur l’esclavage en terre d’islam reçoit des menaces de mort
vendredi 14 décembre 2007, par Annie Lessard



C’était en 2004. En 2007, deux intellectuels musulmans publient des ouvrages sur ce sujet tabou entouré d’un mutisme choquant. Selon Malek Chebel, il n’est pas un lieu gagné par l’islam où ne se soit jamais pratiqué le commerce d’esclaves, encore présent dans le quotidien de millions de gens. Pour Mohammed Ennaji, l’esclavage a fondé le rapport au pouvoir dans le monde musulman et donc l’absolutisme qui est encore souvent la règle dans cette partie du monde.

En 2004, l’universitaire français Olivier Pétré-Grenouilleau expliquait dans un livre savant que l’on retrouvait dans l’histoire de l’Afrique ou du monde arabe des traites négrières pires que la traite occidentale. Quelques jours après la sortie du livre, il a reçu des menaces de mort – prises au sérieux par la police – et préféré ne plus paraître en public. Mais Malek Chebel, anthropologue musulman franco-algérien et auteur du livre « L’esclavage en terre d’Islam » [1], n’est pas troublé.

« Si jamais on lançait une fatwa contre moi, je m’empresserais d’aller à la télé et de leur dire : vous m’avez condamné à mort, mais vous n’êtes que des voyous, des criminels passibles du tribunal de La Haye. Vous n’êtes pas des musulmans mais des assassins, vous pouvez m’envoyer 10 commandos de tueurs si vous voulez, mais je ne me cacherai pas ! »

Ces propos ont été recueillis par le correspondant de La Presse à Paris à qui Chebel accordait une entrevue en octobre dernier L’esclavage en terre d’Islam : un musulman libéral secoue le tabou, par Louis Robitaille, [2]

« Un dossier délicat », admet Chebel en parlant du sujet de son dernier livre. C’est pourquoi j’attends un peu avant de donner des conférences à Paris. « Mais à la différence de Pétré-Grenouilleau ou d’autres, c’est de l’intérieur que je critique les dérives de l’islam, les extrémismes et les sectarismes. »

Auteur d’une vingtaine d’ouvrages, dont Manifeste pour un Islam des Lumières paru en 2004, Chebel se veut à la fois un musulman irréprochable, fin connaisseur du Coran, et un libéral sans concession, partisan de la laïcité et hostile au porte du voile. Un adversaire résolu de « l’Islam politique » et de ses prétentions à « régenter la société ». Avec cette nuance : « Contrairement à d’autres, j’ai le souci d’être audible et donc d’éviter les provocations inutiles : je prends donc soin de n’insulter personne. » Dans l’affaire des caricatures de Mahomet, il a surtout essayé de « calmer le jeu ».

Mais cette fois-ci c’est le sujet même de son livre qui est tabou. Chebel dresse un constat sévère. L’esclavage dans le monde musulman, trois fois plus étalé dans le temps qu’en Occident, a aussi touché deux fois plus d’individus, soit 20 millions de personnes sur 10 siècles.

« Un esclavage discret et à peine atténué se perpétue aujourd’hui. Il y a des zones de non-droit absolu en Arabie Saoudite et dans certains pays du Golfe, par exemple. Au Niger ou au Mali, vous pouvez acheter - à l’unité - un enfant de 10 ans dont vous ferez ce que vous voudrez. Alors que les autorités religieuses en Occident ont fini par basculer dans le camp des abolitionnistes au XIXe siècle et aujourd’hui encore battent leur coulpe pour les crimes passés, je n’entends aucun prédicateur d’Al-Jazira condamner ces pratiques. »

Chebel fustige aussi les islamologues pour leur silence accâblant. « Peut-être ont-ils préféré, écrit-il, « la hauteur mystique des grands penseurs, des philosophes et des théosophes de l’islam aux réalités scabreuses des marchands de chair humaine ». Ils savaient, mais leur empathie pour l’islam les inclinait à trouver à cette religion et aux hommes qui s’en réclament des excuses qui ne sont en rien justifiées.

Ce qui révolte Malek Chebel « c’est que, plus ou moins explicitement, on invoque l’islam pour justifier l’asservissement. Or, sur les seuls 25 versets du Coran qui évoquent le sujet, presque tous penchent du côté de l’affranchissement. Strictement rien dans les textes ne justifie le système esclavagiste. Mais c’est ainsi : sous diverses formes, une coterie religieuse vénale, aux ordres des dictatures, conserve une emprise totale sur l’islam et son interprétation. Il y a 30 ou 40 ans encore, l’Islam des Lumières auquel je me réfère était en plein progrès, en Égypte notamment, et la démocratie était en vue. Aujourd’hui, on est en pleine régression : si l’on faisait aujourd’hui des élections libres dans le monde arabo-musulman, les islamistes l’emporteraient presque partout. Cela dit, je ne crois pas que ce soit irréversible : l’Égypte pourrait redevenir une terre des Lumières. Et il y a des frissonnements démocratiques au Maghreb ou ailleurs. »

Mohammed Ennaji - Esclavage, pouvoir et religion dans le monde arabe

Pour l’universitaire marocain Mohammed Ennaji, le pire est peut-être dans l’impact que l’esclavage a eu sur les mœurs politiques du monde arabe. Dans un livre tout récent [3] , il explique en quoi l’esclavage a fondé le rapport au pouvoir et donc l’absolutisme qui est encore souvent la règle dans cette partie du monde [4]

Notes
[1] L’esclavage en terre d’Islam, Ed. Fayard Malke, 2007

[2] La Presse, le 10 octobre 2007 http://www.cyberpresse.ca/article/20071010/CPMONDE/710100593/6730/CPACTUALITES .

[3] Le Sujet et le Mamelouk : Esclavage, pouvoir et religion dans le monde arabe, par Mohammed Ennaji, éd. Mille et une nuits

[4] http://www.wluml.org/french/newsfulltxt.shtml ?cmd[157]=x-157-558893
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kikou




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MessageSujet: Re: discussions générales   discussions générales Icon_minitimeDim 24 Fév 2008 - 11:45

YACOOB tu va devenir ecrivain
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MessageSujet: Re: discussions générales   discussions générales Icon_minitime

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